#jean-bon saint-andré
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There is another measure to be taken. There exists in Paris a class of individuals who, despite the weakness of their sex, do a lot of harm to the Republic. They corrupt your young men; and instead of making them vigorous and worthy of the ancient Spartans, they only make them into Sibarites incapable of serving liberty: I am talking about these immodest women who make a shameful trafficking of their charms. It is a plague on society, and any good government should banish it from its midst. I ask that the Committee of Public Safety examine whether it would not be useful to stifle this germ of counter-revolution, by deporting these women of bad habits beyond the seas (applauds).
Jean-Bon-Saint-André at the Convention, September 5 1793
Banishing someone from their home country for being too much of a slut? Yeah that sounds about right…
#frev#french revolution#jean-bon saint-andré#tbf with what some people were imprisoned and even executed for during the same period i guess this is as good a charge as any…#but like this is the same session where they go ”to save france we must set up a revolutionary army reform the tribunal and kill the queen”#and then jean-bon is like: ”and there’s this other thing…”
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This site compiled their addresses here though Barère's page is missing (here are some of his addresses), Lindet's address is different than the one give here, and though some mail was sent to Couthon where Robespierre lived, I think he had another address too? (Hérault is also just not listed but the site is centered around Thermidor.)
Copy-pasted below for convenience. I added their birthdates and astrological signs (for those who care about that):
Jean-Baptiste Robert Lindet
Age : Né à Bernay (Eure), 48 ans en thermidor. [2 mai 1746 ♉]
Adresse : 68, rue de la Sourdière.
Métier : Avocat
Fonctions : Député de l’Eure, membre du Comité de salut public du 6 avril 1793 au 7 octobre 1794
Antoine Louis Léon de Saint-Just
Age: Né à Décize, 26 ans en Thermidor an II [25 août 1767 ��]
Adresse: 3, rue Caumartin, 2ème étage (depuis mars 1794), à la même adresse que Thuillier. Il demeurait auparavant à l’hôtel des États-Unis, rue Gaillon.
Fonction(s): Député de l’Aisne à la Convention depuis le 5 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 10 juin 1793.
Georges-Auguste Couthon
Age : Né à Orcet, 38 ans en thermidor [22 décembre 1755 ♑]
Adresse : 366, rue Saint Honoré
Profession : Avocat
Fonction(s) : Elu député du Puy-de-Dôme à la Convention le 6 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 10 juin 1793 au 9 Thermidor an II.
André Jeanbon, dit JEAN BON SAINT-ANDRÉ
Age : Né à Montauban, 45 ans en thermidor [25 février 1749 ♓]
Adresse : 7 rue Gaillon
Profession : Marin, puis pasteur
Fonction(s) : Elu député du Lot à la Convention le 5 septembre 1792, membre du Comité de salut public depuis le 10 juin 1793. Fréquemment en mission pour superviser les opérations maritimes, il est absent de Paris le 9-Thermidor.
Pierre-Louis Prieur, dit PRIEUR de la MARNE
Age : Né à Sommesous (Marne), 37 ans en thermidor [1er août 1756 ♌]
Surnom : Appelé Prieur de la Marne (pour le différencier de Prieur de la Côte-d’Or)
Adresse : 11, rue Helvetius
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de la Marne à la Convention depuis le 3 septembre 1792, membre du Comité de salut public du 10 juillet 1793 au 13 thermidor an II (31 juillet 1794), puis à nouveau du 15 vendémiaire au 15 pluviôse an III (6 octobre 1794-3 février 1795).
Absent de Paris au moment du 9-Thermidor.
Maximilien Marie Isidore de Robespierre
Age : Né à Arras, 36 ans en thermidor. [6 mai 1758 ♉]
Adresse : 366 rue Saint-Honoré (numérotation actuelle : 398)
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention nationale depuis le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 27 juillet 1793
Claude-Antoine Prieur-Duvernois, dit PRIEUR de la CÔTE-d'OR
Age : Né à Auxonne, 30 ans en thermidor [22 décembre 1763 ♑]
Surnom : Appelé Prieur de la Côte-d’Or (pour le différencier de Prieur de la Marne)
Adresse : 5, rue Caumartin
Profession : Ingénieur militaire
Fonction(s) : Elu député de la Côte-d’Or à la Convention le 5 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 14 août 1793 au 16 vendémiaire an III (7 octobre 1794).
Lazare Nicolas Marguerite Carnot
Age : Né à Nolay, 41 ans en thermidor. [13 mai 1753 ♉]
Adresse : 2 rue Florentin
Métier : Mathématicien, physicien, militaire
Fonction(s) : Elu député du Pas-de-Calais à la Convention nationale le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 14 août 1793, il le quitte le 7 octobre 1794 mais y siège à nouveau un mois plus tard, jusqu’au 6 mars 1795.
Jacques-Nicolas Billaud, dit BILLAUD-VARENNE
Age : Né à La Rochelle, 38 ans en Thermidor an II [23 avril 1756 ♉]
Adresse : 40 rue Saint-André-des-Arts
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention depuis le 7 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793
Jean-Marie Collot, dit COLLOT d'HERBOIS
Age : Né à Paris, 45 ans en Thermidor an II [19 juin 1749 ♊]
Adresse : 4 rue Favart (3ème étage)
Métier : Acteur, directeur de théâtre
Fonction(s) : Elu député de Paris à la Convention le 6 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793.
#the csp#committee of public safety#comité de salut public#antoine saint just#maximilien robespierre#robert lindet#lazare carnot#claude antoine prieur#jacques nicolas billaud varenne#collot d'herbois#georges couthon#andré jeanbon saint andré#pierre louis prieur#prieur duvernois#prieur de la côte d'or#prieur de la marne#jeanbon saint-andré#bertrand barère
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AFFICHAGE LIBRE FREE BILLBOARD
avec Mathieu Tremblin sur une invitation d’Éric Watier & Cedric Torne de l’École Nationale Supérieure d'Architecture de Montpellier.
Avec les contributions de :
Thomas Ducrocq - Marker on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #2, Place de la Révolution française, Montpellier, Fr.
Bon Dimanche : ) Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #3, Place de la Révolution française, Montpellier, Fr.
Samuel Bosseur - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #5, Avenue Albert Einstein, Montpellier, Fr.
Aziyadé Baudoin Talec - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #6, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Coco Bergholm - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #9, Avenue Saint-André de Novigens, Montpellier, Fr.
Zeko - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #11, Boulevard Ernest Renan, Montpellier, Fr.
Stephane Mroczkowski - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #12, Boulevard Mounié, Montpellier, Fr.
Name - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #13, Boulevard des Sports, Montpellier, Fr.
Germain Ipin - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #15, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Louise Moulin - B & W print, marker, acrylic & spray paint on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #16, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Gérard ZlotyKamien - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #17, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Jean Faucheur - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #18, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Deana Kolencikova - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #19, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Serra Glia - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #20, Avenue de la Pompignagne, Montpellier, Fr.
Souad El Maysour - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #32, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Roland Gorgen - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #33, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Julie Savoi - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #34, Avenue de Maurin, Montpellier, Fr.
Elsa Werth - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #36, Rue Marie-Jeanne Langlois, Montpellier, Fr.
Danilo Milovanic - B & W print & spray paint on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #37, Avenue Villeneuve-Angoulème, Montpellier, Fr.
Sebastian Jung - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #38, Avenue Villeneuve-Angoulème, Montpellier, Fr.
Céline Ahond - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #60, Avenue des Moulins, Montpellier, Fr.
Emma Cozzani - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #61, Avenue des Moulins, Montpellier, Fr.
Nicolas Henri Muller - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #62, Avenue du Professeur Louis Ravas, Montpellier, Fr.
Elsa Quintin - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #63, Avenue du Professeur Louis Ravas, Montpellier, Fr. Pierre Frankel - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #64, Avenue Henri Marès, Montpellier, Fr.
Louise Guarrigues - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #68, Avenue de la Justice de Castelnau, Montpellier, Fr.
Gilbert Coqalane - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #69, Avenue de la Justice de Castelnau, Montpellier, Fr.
Duo Oran - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #81, Avenue d'Occitanie, Montpellier, Fr.
Jean-Claude Luttmann - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #87, Avenue Paul Parguel, Montpellier, Fr.
Soline Lecourbe - Marker on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #89, Rue Adrien Proby, Montpellier, Fr.
Claude Closky - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #90, Avenue Augustin Fliche, Montpellier, Fr.
Mardi Noir - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #99, Rue du Général Riu, Montpellier, Fr.
Aurore Leduc - B & W print, 150 x 230 cm. Free billboard #112, Rue du Faubourg Figuerolles, Montpellier, Fr.
Anna Lejemmetel - Acrylic on paper, 150 x 230 cm. Free billboard #113, Rue du Faubourg Figuerolles, Montpellier, Fr.
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Évangile de Jésus-Christ selon Saint Jean 6,1-15
« En ce temps-là,
1 « Jésus passa de l’autre côté de la mer de Galilée, le lac de Tibériade.
2 Une grande foule le suivait, parce qu’elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades.
3 Jésus gravit la montagne, et là, il était assis avec ses disciples.
4 Or, la Pâque, la fête des Juifs, était proche.
5 Jésus leva les yeux et vit qu’une foule nombreuse venait à lui. Il dit à Philippe : « Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? »
6 Il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car il savait bien, lui, ce qu’il allait faire.
7 Philippe lui répondit : « Le salaire de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun reçoive un peu de pain. »
8 Un de ses disciples, André, le frère de Simon-Pierre, lui dit :
9 « Il y a là un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ! »
10 Jésus dit : « Faites asseoir les gens. » Il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes.
11 Alors Jésus prit les pains et, après avoir rendu grâce, il les distribua aux convives ; il leur donna aussi du poisson, autant qu’ils en voulaient. »
Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Jn 6,11
« Jésus prit les pains, et, après avoir rendu grâce, il les distribua aux convives ; il leur donna aussi du poisson, autant qu’ils en voulaient. » (Jn 6,11) Jean raconte : « Une grande foule le suivait, parce qu’elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades. » L’effervescence était particulièrement grande, certainement, dans les jours qui précédaient la Pâque ; cette fête de la libération passée (de l’esclavage en Égypte) préfigurait aux yeux de tous la libération définitive qu’apporterait le Messie. Et si Jean prend la peine de préciser : « La Pâque, la fête des Juifs, était proche », c’est qu’il y a là un élément important de compréhension du récit de la multiplication des pains. Jésus entraîne la foule vers la montagne : « Jésus gravit la montagne, et là, il était assis avec ses disciples. » Le mot « montagne », en Galilée, près du lac, ne peut être que symbolique (les collines culminent à quelques centaines de mètres) ; sans doute Jean veut-il nous faire entendre que l’heure du banquet messianique annoncé par le prophète Isaïe a sonné : « Le SEIGNEUR, le tout-puissant, va donner sur cette montagne un festin pour tous les peuples, un festin de viandes grasses et de vins vieux, de viandes grasses succulentes et de vins vieux décantés » (Is 25,6). À cette foule affamée du festin de Dieu, Jésus va offrir le signe que ce jour tant attendu est vraiment là. Car c’est bien lui qui prend l’initiative. Il commence par questionner Philippe, l’un des Douze : « Où pourrions-nous acheter du pain pour qu’ils aient à manger ? » Et Jean commente : « Il disait cela pour le mettre à l’épreuve, car lui-même savait bien ce qu’il allait faire. » Mais en quoi consiste cette « mise à l’épreuve » des apôtres ? Pour un Juif comme Jean, cette expression est un rappel de l’expérience de l’Exode : car la longue pérégrination dans le Sinaï avait été comprise par la suite comme un temps de « mise à l’épreuve » ; le livre du Deutéronome explique : « Le SEIGNEUR ton Dieu t’éprouvait pour connaître ce qu’il y avait dans ton cœur » (Dt 8,2). Philippe, lui, n’a peut-être pas compris tout de suite que Jésus en appelait à sa foi, il répond de manière toute humaine, pleine de bon sens : « Le salaire de deux cents journées ne suffirait pas pour que chacun ait un petit morceau de pain. » Et André ajoute : « Il y a là un jeune garçon qui a cinq pains d’orge et deux poissons, mais qu’est-ce que cela pour tant de monde ! » À vues humaines, on ne peut pas leur donner tort ! Mais ont-ils donc oublié, Philippe et André, l’histoire du prophète Élisée (première lecture de ce dimanche) ? Bien intentionné, le serviteur du prophète avait, dans un cas tout à fait semblable, tenu les mêmes propos : un tout petit peu de pain pour cent personnes, ce n’était même pas la peine d’y penser ! Mais Élisée avait passé outre… Jésus fait la même chose, il se contente de dire « Faites-les asseoir. » Pourquoi Jean précise-t-il « qu’il y avait beaucoup d’herbe à cet endroit. » ? Sinon pour faire entendre qu’un « bon pasteur » (encore une image messianique ; cf Jn 10) prend toujours soin d’emmener ses brebis sur un bon pâturage ? « Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes. » Les quatre évangiles notent la disproportion entre les cinq pains et les cinq mille hommes ; histoire de noter la surabondance des dons messianiques. Arrivé là, Jean change de ton : « Alors Jésus prit les pains, et, après avoir rendu grâce, les leur distribua. » On y reconnaît sans peine les mots de la Cène ; Jean, il est vrai, ne relate nulle part l’institution de l’Eucharistie ; (il la remplace par le lavement des pieds, Jn 13) ; mais ici, visiblement, il y fait référence : les chrétiens auxquels il s’adresse comprennent aussitôt que le miracle des pains sur la petite montagne de Galilée est le signe du banquet de l’Eucharistie qu’ils célèbrent chaque dimanche depuis la Résurrection du Christ. (Note du P. Mario Doyle, C.Ss.R. : Ce commentaire reproduit largement celui d’une bibliste bien connue des catholiques de France : Marie Noëlle Thabut)
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LA PRIERE .
Voici ce que disent André Denjean et Adolphe Monod à ce sujet :
« Notre tort est de vouloir faire tourner nos moteurs à vide, sans essence ; l’énergie de la prière est la Parole de Dieu. Jean Calvin a une bien profonde parole quand il dit : “Nous ne devons jamais prier sans avoir à la main la clé des promesses.” Il y a une préparation à la prière. La prière ne fait que moudre le grain de la Parole de Dieu. » André Denjean.
« L’Écriture sainte, la Parole de Dieu, est le Ciel parlé. La prière, selon l’Écriture, est le Ciel reçu au-dedans de nous par le Saint-Esprit. Sans la Parole, la prière est nulle, n’ayant pas d’aliment ; sans la prière, la Parole est impuissante et ne pénètre pas dans le coeur. » Adolphe Monod.
(Cités par Maurice Decker, La prière, farce ou force, page 95. Éditions Le Bon Livre, 2007.
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NAISSANCE D’UN SAUVEUR
La religion est un concept bien personnel, mais au final toutes les religions sont une tradition, peu importe le Dieu que l’on prie.
Les Lutins ne sont pas croyants, mais le Père Noël était un ami proche du Cardinal Jean-Claude Turcotte (1936-2015). Les deux avaient été confrères de classe au séminaire et ils avaient pratiqué ensemble le sport de la boxe amateur. Leur chemin de vie ont ensuite pris deux directions différentes, l’un est devenu cardinal et l’autre père Noël…
Le Père Noël insiste que ses Lutins ne passent jamais par Montréal sans aller visiter la Cathédrale où résidait le Cardinal Turcotte.
Ulysse et son maître aimaient beaucoup Jean-Claude, mais leurs personnages religieux préférés sont Saint-Antoine de Padou, et bien sûr le bon Saint Frère André.
La visite de la Cathédrale de samedi soir 23 décembre 2023 s’est d’ailleurs terminée devant la statue de Saint-André installée sur le boulevard René-Lévesque.
Un peu plus tard dans la nuit de dimanche matin 24 décembre (2 heures 20), les pompiers iront éteindre un incendie à la Basilique Notre-Dame dans le Vieux-Montréal.
On ne connaît jamais le destin...
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VOIR BIOGRAPHIE CARDINAL JEAN CLAUDE TURCOTTE
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Témoignage De Julie1 09/08/2023
Le lendemain, [Jean-Baptiste] voit Jésus venir à lui et dit : Voici l’agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde. Jean 1.29
Juive, née en Algérie, Julie a dû fuir avec sa famille et se réfugier en France en 1962. Plus tard, approchant la quarantaine, sur les conseils d’une amie chrétienne, elle lit l’évangile de Jean. Les paroles de Jean-Baptiste l’interpellent (voir le verset en en-tête, Jean 1.29).
Aussitôt les souvenirs de son enfance reviennent à sa mémoire : l’agneau égorgé par son père, le sang mis sur les linteaux de la porte, souvenirs de la fête de la Pâque, le récit de l’histoire de leurs ancêtres lors de la sortie d’Égypte (raconté dans l’Ancien Testament2)… Tout à coup, tout devient évident : Jésus est l’Agneau de Dieu.
Elle vient de découvrir le Messie d’Israël, comme autrefois Simon-Pierre, André, Philippe et Nathanaël, et bien d’autres Juifs avant elle. Cette révélation bouleverse sa vie, comme elle a métamorphosé celle de tous les disciples de Jésus.
Jésus, tel un agneau sacrifié, n’est pas venu seulement pour offrir sa vie sur la croix en sacrifice d’expiation pour le peuple juif. Non. Il est venu pour enlever le péché du monde, c’est-à-dire pour tous, pour toute l’humanité. Jésus a donné sa vie pour tous sans distinction d’origine ethnique, de sexe ou d’âge. C’est aussi pour vous, lecteur, que Jésus s’est sacrifié.
Béatrice Guerche
1 Juifs pour Jésus Youtube, Kabbalat Chabbat du 1er mai 2021 2 Exode 12.21-27
__________________ Lecture proposée : Évangile selon Jean, chapitre 1, versets 29 à 51. 29 Le lendemain, il voit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. 30 C’est celui dont j’ai dit : Après moi vient un homme qui m’a précédé, car il était avant moi. 31 Et moi je ne le connaissais pas ; mais c’est afin qu’il fût manifesté à Israël que je suis venu baptiser d’eau. 32 Et Jean rendit témoignage en disant : J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe, et il est demeuré sur lui. 33 Et moi je ne le connaissais pas, mais celui qui m’a envoyé baptiser d’eau, celui-là m’a dit : Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et demeurer, c’est celui qui baptise de l’Esprit-Saint. 34 Et moi je l’ai vu, et j’ai rendu témoignage que celui-là est le Fils de Dieu. Le premier groupe de disciples 35 Le lendemain, Jean se trouvait de nouveau là avec deux de ses disciples, 36 et ayant arrêté son regard sur Jésus qui passait, il dit : Voilà l’Agneau de Dieu. 37 Et les deux disciples l’entendirent parler, et ils suivirent Jésus. 38 Or Jésus s’étant retourné, et voyant qu’ils le suivaient, leur dit : Que cherchez-vous ? 39 Ils lui dirent : Rabbi (ce qui signifie Maître) où demeures-tu ? 40 Il leur dit : Venez et vous verrez. Ils allèrent donc, et ils virent où il demeurait, et ils restèrent auprès de lui ce jour-là ; il était environ la dixième heure. 41 André, le frère de Simon Pierre, était l’un des deux qui avaient entendu les paroles de Jean, et qui avaient suivi Jésus. 42 Celui-ci trouve, le premier, Simon son propre frère, et il lui dit : Nous avons trouvé le Messie (ce qui signifie Christ). 43 Et il l’amena à Jésus. Jésus l’ayant regardé, dit : Tu es Simon, fils de Jonas ; tu seras appelé Céphas (ce qui signifie Pierre).
44 Le lendemain, Jésus voulut s’en aller en Galilée, et il trouve Philippe ; et il lui dit : Suis-moi. 45 Or, Philippe était de Bethsaïda, de la ville d’André et de Pierre. 46 Philippe trouve Nathanaël, et lui dit : Nous avons trouvé celui dont Moïse a écrit dans la loi, et dont les prophètes ont parlé, Jésus, le fils de Joseph, de Nazareth. 47 Et Nathanaël lui dit : Peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth ? Philippe lui dit : Viens et vois. 48 Jésus vit Nathanaël venant à lui, et il dit de lui : Voici un véritable Israélite en qui il n’y a point de fraude. 49 Nathanaël lui dit : D’où me connais-tu ? Jésus répondit et lui dit : Avant que Philippe t’appelât, quand tu étais sous le figuier, je t’ai vu. 50 Nathanaël lui répondit : Rabbi, tu es le Fils de Dieu, tu es le roi d’Israël. 51 Jésus répondit et lui dit : Parce que je t’ai dit que je te voyais sous le figuier tu crois : tu verras de plus grandes choses que celle-ci.
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Aujourd'hui, jeudi 9 mars, nous fêtons Sainte Françoise Romaine.
SAINT DU JOUR
. Françoise . Du latin francus, franca : "homme, femme libre" ; du latin Franci : "les Francs" . Forme féminine de François. . Sainte-Françoise Romaine (1384-1440) Religieuse Née à Rome, son père la marie à Lorenzo de Ponziani en 1396. Tous deux vivent une belle vie conjugale. Elle supporte de rudes épreuves, telles que la mort de deux de ses enfants sur trois, l'exil de son mari et la confiscation de leurs biens. Après la mort de son mari en 1436, elle rejoint la communauté des oblates bénédictines qu'elle avait fondée en 1433. Jean de Matteotti, son confesseur a écrit sa biographie. Canonisée en 1608, elle est patronne des automobilistes. . Enfant calme et aimante, femme active et déterminée mais particulièrement équilibrée, Françoise est une sage éprise de liberté. Elle accorde par ailleurs une grande importance aux valeurs morales. . Prénoms dérivés : France, Francette, Fanette, Francesca... Nous fêtons également les : Fanchette - Fanchon - Franca - France - Franceline - Francène - Francesca - Francette - Franceza - Franche - Franchette - Francine - Francisca - Françoise - Françoise-Anne - Molly - Pacian - Paciane - Pacien - Paquita - Soaz - Soazic - Soazig - Soizic - Soizig - Zazie Toutes les infos sur les Saints du jour https://tinyurl.com/wkzm328
FETE DU JOUR
Quels sont les fêtes à souhaiter aujourd'hui ? [ Bonne fête ] . Françoise Hardy, chanteuse, compositrice et astrologue française . Françoise Laborde, journaliste . Françoise Fabian, actrice française . Françoise Sagan, écrivaine française . Françoise Giroud, journaliste et femme politique française (19 janvier 2003) . Françoise de Panafieu, femme politique
Ils nous ont quittés un 9 mars :
9 mars 2015 : Florence Arthaud, navigatrice française (28 octobre 1957) 9 mars 1997 : Jean-Dominique Bauby, Ecrivain et journaliste français (23 avril 1952) 9 mars 1994 : Fernando Rey, né Fernando Casado Arambillet, acteur espagnol (20 septembre 1917) 9 mars 1989 : Robert Mapplethorpe, photographe américain (4 novembre 1946) 9 mars 1983 : William Walton, compositeur britannique (29 mars 1902)
Ils sont nés le 9 mars :
9 mars 1923 : André Courrèges, couturier français 9 mars 1934 : Youri Gagarine, cosmonaute soviétique, premier homme dans l'espace (27 mars 1968) 9 mars 1939 : Jean-Pierre Chev��nement, homme politique 9 mars 1941 : Jean-Jacques Debout, chanteur 9 mars 1947 : Linda Fiorentino, actrice 9 mars 1955 : Ornella Muti, actrice italienne 9 mars 1964 : Juliette Binoche, actrice
Toutes les naissances du jour https://tinyurl.com/msmk5e22
Fêtes, Célébrations, événements du jour 9 mars : journée nationale de l'audition
CITATION DU JOUR
Citation du jour : Les hommes sont comme les vins : avec le temps, les bons s'améliorent et les mauvais s'aigrissent. Cicéron.
Citation du jour : Tout ce qu'il y avait dans ton regard, dans tes paroles, dans le son de ta voix, dans tes baisers, dans tes caresses, les anges seuls pourraient le redire. Quand tu m'as quitté, j'étais enivré ; je t'ai suivie des yeux, sans sortir de la chambre, à travers les rues et les murailles ; il me semblait que je te voyais comme une forme lumineuse et heureuse. Il me restait quelque chose, en effet, de l'éblouissement de ta présence. Peu à peu cependant, ce beau soleil de joie s'est éteint dans mon coeur, j'ai regardé autour de moi, et je suis redevenu triste ; tu n'étais plus là. Victor Hugo
Toutes les citations du jour https://tinyurl.com/payaj4pz
Nous sommes le 68ème jour de l'année il reste 297 jours avant le 31 décembre. Semaine 10.
Beau jeudi à tous.
Source : https://www.almanach-jour.com/almanach/index.php
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Max Ernst 'C'est le chapeau qui fait l'homme' , 1920
Max Ernst, né le 2 avril 1891 à Brühl et mort le 1er avril 1976 à Paris, est un peintre et sculpteur allemand, dont l'œuvre se rattache aux mouvements dadaïste et surréaliste.
Max Ernst est le fils du peintre Philipp Ernst et de Louise Kopp.
En 1910, il commence à étudier la philosophie à l'université de Bonn mais il abandonne rapidement les cours pour se consacrer à l'art. Il rencontre les membres du groupe Blaue Reiter en 1911 avec qui il expose à Berlin, en 1913. La même année, il fait la connaissance de Guillaume Apollinaire et Robert Delaunay, part pour Paris et s'installe dans le quartier du Montparnasse.
En 1918, il épouse Louise Straus, historienne d'art. Leur relation tumultueuse ne tiendra pas. L'année suivante, il rend visite à Paul Klee et crée ses premières peintures, impressions à la main et collages ; il expérimente différents supports et matériaux.
La période dadaïste et surréaliste
Durant la Première Guerre mondiale, il sert dans l'armée allemande. Après celle-ci, rempli de nouvelles idées, il fonde avec Jean Arp et l'activiste social Johannes Theodor Baargeld le groupe dada de Cologne mais deux ans plus tard, en 1922, il retourne à la communauté d'artistes de Montparnasse à Paris où il vit chez le couple Éluard.
En 1925, Max Ernst invente le frottage : il laisse courir une mine de crayon à papier sur une feuille posée sur une surface quelconque (parquet ou autre texture). Cette technique fait apparaître des figures plus ou moins imaginaires. Elle s'apparente à l'écriture automatique des écrivains surréalistes qu'il côtoyait comme Paul Éluard et André Breton.
L'année suivante, il collabore avec le peintre Joan Miró pour la création de décors pour les spectacles chorégraphiques de Sergei Diaghilev. Avec l'aide de Miró, Max Ernst se lance dans l'élaboration d'une nouvelle technique, le grattage du pigment directement sur la toile.
En 1933, Max Ernst part en Italie.C'est ici qu'il compose en trois semaines 182 collages à partir d'ouvrages français illustrés en noir et blanc de la fin du xixe siècle. De retour à Paris, il les publie dans un ouvrage en cinq volumes appelé Une semaine de bonté ou les sept éléments capitaux, chacun de couleur différente d'avril à septembre 1934 aux éditions de la galerie Jeanne Bucher.
En 1934, fréquentant Alberto Giacometti, il commence à sculpter. En 1937, il rencontre Leonora Carrington avec qui il part vivre à Saint-Martin-d'Ardèche. En 1938, l'héritière américaine Peggy Guggenheim achète un bon nombre d'œuvres de Max Ernst qu'elle expose dans son nouveau musée à Londres.
La période américaine
Dès le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, en septembre 1939, Max Ernst est arrêté comme « étranger ennemi » et interné dans le camp des Milles près d'Aix-en-Provence. Avec l'aide du journaliste américain Varian Fry, fondateur du Comité américain de secours à Marseille en août 1940, il réussit à quitter le pays en compagnie de Peggy Guggenheim. Ils arrivent aux États-Unis en 1941 et se marient l'année suivante. Max Ernst vit à New York où, à côté des peintres Marcel Duchamp et Marc Chagall, il aide au développement de l'expressionnisme abstrait parmi les peintres américains comme Jackson Pollock.
Son mariage avec Peggy Guggenheim est un échec. En octobre 1946, il épouse Dorothea Tanning à Beverly Hills, (Californie). Max Ernst s'installe à Sedona, (Arizona). En 1948, il écrit le traité « Beyond Painting » puis part voyager en Europe en 1950. En 1952, il devient Satrape du Collège de ’Pataphysique.
Max Ernst 'C'est le chapeau qui fait l'homme' , 1920
À partir de 1953, il s'installe à Paris et l'année suivante reçoit le Grand prix de la biennale de Venise, ce qui lui vaut l'exclusion du mouvement surréaliste.
De 1955 à 1963, il réside à Huismes (Indre-et-Loire) où il réalise des œuvres marquées par la Touraine : Le Jardin de la France, Hommage à Léonard ou La Tourangelle.
En 1963, il déménage avec sa femme dans une petite ville du sud de la France, Seillans (Var), où il continue à travailler. Il crée les décors d'un théâtre et une fontaine dans la ville d'Amboise (Indre-et-Loire). En 1966, il réalise un jeu d'échecs en verre sur un échiquier géant de cinq mètres de côté, qu'il baptise Immortel.
En 1975, une rétrospective a lieu au Musée Solomon R. Guggenheim à New York et les Galeries Nationales du Grand Palais de Paris publient un catalogue complet de ses œuvres.
Max Ernst deviendra un ami du grand industriel Jean Riboud.
Max Ernst a été incinéré à Paris au cimetière du Père-Lachaise
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Pronunciation of the marshalate
Firstly, I am very sorry that I did not do double checks before reposting content again. So, after some thoughts, I decided to make a better version of our own.
//
Notes:
- All pronunciations of names are transcribed into English sounds (as much as possible)
- Since the [y] sound is absent in English, I decided to use the u-umlaut (ü) in German (and Mandarin Chinese pinyin) which was the closest to the “u” in French. The sound is the closest to “u” as in “pure” in English.
- the guttural “r” in French is going to be denoted with “hr”
- “an”, “on” and “in” are nasal sounds
- Please note that even native speakers disagree on some pronunciations
//
Charles Pierre François Augereau (O-zher-hro)
Jean-Baptiste Jules Bernadotte (Ber-nah-dot)
Louis-Alexandre Berthier (Behr-ti-yer)
Jean-Baptiste Bessières (Be-si-ehr)
Guillaume Marie-Anne Brune (Brüne)
Louis-Nicolas Davout (Dah-voo)
Jean-Baptiste Jourdan (Zhoohr-don)
François-Étienne-Christophe Kellermann (Ke-ler-mahn)
Jean Lannes (Lahn)
François Joseph Lebfevre (Le-fevhr)
André Masséna (Maa-sen-na)
Bon-Adrien Jeannot de Moncey (Mon-sey)
Adolphe Édouard Casimir Joseph Mortier (Mohr-ti-yer)
Joachim-Napoléon Murat (Mü-hra)
Michel Ney (it’s between Neh and Nay)
for details, watch this clip of our ginger babe demanding soup (source: Jean-Roch Coignet TV série)
#SoupepourNey #SoupforNey
Catherine-Dominique de Pérignon (Pe-hri-zhnon)
Jean-Mathieu-Philibert Sérurier (Se-hrü-hri-ehr)
Jean-de-Dieu Soult (Soo)
Claude Victor-Perrin (Vik-tor-Per-hran)
Étienne Jacques Joseph Alexandre MacDonald (Mack-Don-nal)
Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont (Mahr-mon)
Nicolas Charles Oudinot (Oo-di-no)
Louis-Gabriel Suchet (Sü-shay)
Laurent de Gouvion-Saint-Cyr (Goo-vi-on-Son-Seehr)
Józef Antoni Poniatowski (Pon-ee-ah-tov-ski)
Emmanuel de Grouchy (Ghroo-shee)
I hope I get everything right, also here I would like to thank @histoireettralala for helping me to make this post happen🙈
#this is for consolidating my own knowledge on French pronunciations as well Lol#literally tried to read every name out loud by myself when typing everything on it#still can’t pronounce my babey’s name (sob)#marshal babeys#marshal babies#napoleon’s marshals#featuring a ginger babey who needs soup#soupe pour Ney#soup for ney#michel ney#marshal bae#ginger babey#important post
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Apart from C-A Prieur, did anyone else in the CSP remain a friend with Lazare Carnot after Thermidor?
I think @aedesluminis and @sieclesetcieux are better suited to answer this than I am, I’m generally pretty unfamiliar with the Office CPS dynamics (I honestly don’t even know which of the members were friends of Carnot beforethermidor). But I’ve at least managed to dig out the following:
In volume 3 of his memoirs, Barère writes that he, following getting relieved of his legislative duties, wrote two or three letters to Carnot expressing some ideas on European politics and the power of the Directory, but that Carnot expressed no interest towards neither the letters or the man Barère had sent to hand them over. ”From this time my correspondence with the Director Carnot ceased; he either could, or would, do nothing for me, he forgot me altogether, and himself disappeared soon afterwards from this disunited, ill-matched, and utterly incapable Directory.”
Barère also writes that he in 1800, after having returned to Paris, had dinner with Fouché and Lamarque, ending with another encounter with Carnot:
After dinner Lamarque told me that he wished to be reconciled to Carnot. I thought that the circumstances were favourable for the reconciliation of true patriots, as misfortune ought to unite all shades of opinion. I went to Carnot, and introduced to him my friend Lamarque, who had defended me during my proscription from the tribune of the Five Hundred. "No doubt," replied Carnot ironically, "but he was the president of that council when I was transported as a member of the Directory." I perceived somewhat too late that there are some men whose memory is too good, and we parted rather disconcerted at this misunderstanding.
Later that year, Barère claims Carnot walked in on him and Napoleon having a conversation, and tried to help Barère obtain a position in the new regime:
The conversation had reached this point when the Minister of War, Carnot, arrived with his portfolio to work with the First Consul. To give Carnot his due, he seemed very pleased to see me in close conversation with Bonaparte. He thought when he saw us tete-a-tete in the audience chamber that I was about to be appointed to some important office. In a few moments he said to the First Consul: "General, can you not usefully employ the talents of Citizen Barère?" The First Consul, who certainly had no desire to do so, and who had only offered me a miserable editorship, was silent, either because he did not choose to be catechised by one of his ministers, or because he had no favourable reply to make. I saw his embarrassment, and I replied to Carnot: "The First Consul would like to make me a bard to celebrate the glorious exploits of his warriors; but the age of Ossian has passed." This reply appeared to displease the First Consul, and I took my leave, considering myself very fortunate to have escaped being requisitioned as a journalist.
Collot d’Herbois mentioned Carnot once in his defence written 1795, attesting that the latter was hardworking. However, it doesn’t exactly tell us anything regarding if the two had stayed in touch or not:
I hastily ate a frugal meal every day in the vicinity of the committee. Carnot was forced to do the same, as was Prieur (de la Cote-d'Or.) They know of my assiduousness; only theirs and that of Lindet could surpass it.
As for Saint-André, I could find nothing when searching for ”Carnot” within the 1848 work Jean-Bon Saint-André, sa vie et ses écrits by Michel Nicolas. The same thing when searching for him Billuad-Varennes — mémoires et correspondance (1893)
That leaves us with Lindet and Prieur de la Marne, both of whom have left so little written material behind that I can’t say anything for the moment… There might be something in Notes et souvenirs inédits de Prieur de la Marne, but I don’t have access to those…
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Haïti Legends ''Sa Nou Dwe Konnen''
Jean Emmanuel Jabouin '' Premier Trompettiste du Compas Direct''
Biographie
Louis Carl St-Jean.
De son vrai nom Jean Emmanuel Jabouin, Talès a vu le jour à la Croix-des Bouquets le 24 juin 1930. Il est le fils du Cayen Emmanuel Jabouin, ancien fonctionnaire de l’administration publique, et d’Indiana Victor, originaire de la Croix-des-Bouquets. À l’âge de 3 ans, Talès est frappé par la fièvre typhoïde, qui le laisse avec une légère paralysie des jambes. Peu après sa guérison (vers quatre ou cinq ans), il commence à manifester un intérêt pour la musique. Non sans rire, il raconte: « Je prenais plaisir à m’asseoir sur la « manoumba » lorsque les troubadours qui venaient se produire presque toutes les fins de semaine dans la cour de la maison de mes parents prenaient leur pause… Ces exécutants eux-mêmes prenaient plaisir à me regarder pincer les lames de cet instrument qui était plus grand que moi. »
En 1937, la mère de Talès déménage et s’installe avec son fils à la rue du Champ-de-Mars, presque au coin de la rue de l’Enterrement, au cœur du Morne-à-Tuf. La maison voisine est celle des époux Augustin Baron où se produit souvent le légendaire pianiste et musicien François Alexis Guignard (dit Père Guignard). En cours de semaine, il fabrique, avec des tiges de papaye, des saxophones qu’il joue, assure-t-il, avec la plus grande joie pour les voisins. En octobre 1941, Talès est admis à l’Ecole Centrale des Arts et Métiers où il apprend la musique et la trompette sous la direction du maestro Augustin Bruno.
En juillet 1947, Talès, frais émoulu de la Centrale, fait ses débuts avec l’Ensemble Anilus Cadet, dont le QG se trouve à la rue de l’Enterrement, en face de l’Hospice Saint François de Sales. Il joue alors à côté de Fritz Ferrier, d’Issalem « Sonson » Bastien et d’autres exécutants qu’Anilus recrutait au besoin. En septembre 1949, Talès occupe l’un des dix pupitres du Jazz des Caraïbes. C’est cet orchestre, monté par Issa El Saieh, qui, en février 1950, accompagne Daniel Santos, Estela « Tete » Martinez et d’autres stars latinoaméricaines de passage au « Simbie Night Club », au « Vodou Night Club » et dans d’autres boîtes de nuit port-au-princiennes. Nous tenons de lui cette confidence pour le moins étonnante: « C’est au sein de l’Orchestre des Caraïbes que je peux retracer mes meilleurs souvenirs sur la scène musicale… » Après la dislocation de ce dixtuor, Talès s’associe de nouveau au groupe d’Anilus Cadet, qui obtient le deuxième prix du carnaval de 1951 pour la méringue « Bèl carnaval ». (Le premier prix a été décerné à TI-TA-TO.)
À la même époque, Talès, Emmanuel Duroseau fils (piano), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Louis Denis (batterie) et Marcel Jean (tambour) vont prêter leurs talents à Guy Durosier, qui, sur la recommandation d’Issa El Saieh, dirige l’Ensemble Tabou, le sextette de l’Hôtel Rivoli (Pétionville). Au cours de la même période, Talès accompagne dans les quatre coins du pays le troubadour Nicolas « Candio » Duverseau, grand chantre du magloirisme. Il joue aussi dans d’autres groupements d’occasion qui animent des pique-niques dominicaux et des soirées dansantes organisées le plus souvent par Stanislas Henry et Antoine Dextra à Carrefour Marin, commune de la Croix des Bouquets.
À la fin de 1951, Talès adhère à l’Orchestre Atomique Junior, monté par Nemours Jean-Baptiste après sa séparation de l’Orchestre Atomique. Au cours de l’année 1952, le groupe de Nemours est dissous. Immédiatement le bouillant maestro est appelé à diriger l’Orchestre Citadelle. Lorsqu’Hector Lominy se sépare de cet orchestre, Talès y est engagé pour seconder Jean Moïse. Véritable bûcheur, Nemours met sur pied parallèlement un petit groupement pour « faire la côte », selon l’expression de l’époque. Avec Dérico (chanteur), Webert Sicot (saxophone alto), Gérard Dupervil (trompette), son frère Montfort Jean-Baptiste ou parfois Augustin Fontaine (contrebasse), Hilaire ou parfois « Bibiche » (batterie) et d’autres musiciens, il sillonne par monts et par vaux les coins et recoins de la République, spécialement pour animer des fêtes champêtres.
En novembre 1953, Talès prend le chemin du Casino International et s’associe au Conjunto Panamerican dirigé par le trompettiste Emile D. Dugué. Il évolue alors aux côtés d’Ulysse Cabral (chanteur), Julien Paul (contrebasse), Charles Dessalines (saxophone alto), Gabriel Dasque (tambour), etc. Environ six mois plus tard, Talès s’écarte de ce groupe pour aller remplacer Kesnel Hall dans l’Orchestre Atomique, placé alors sous la baguette du pianiste Robert Camille. Il y passe moins de six mois et regagne l’Orchestre Citadelle pour succéder à Gesner Domingue.
Vers la fin de 1954, Nemours Jean-Baptiste, toujours maestro de l’Orchestre Citadelle, fonde le Conjunto International. Pour l’aider à égayer les clients des restaurants dansants de Jean Lumarque, dont l’un à Kenscoff, l’autre à Carrefour, il invite plusieurs musiciens, dont Talès à la trompette, à participer dans cette merveilleuse aventure : Dérico (chanteur), Mozart Duroseau (accordéon), Montfort Jean-Baptiste (contrebasse), Webert Sicot (saxophone alto), parfois Gary Labidou (saxophone alto) et Kreutzer Duroseau (tambour). Le 22 mars 1955, après les travaux d’agrandissement et d’aménagement du night club « Aux Calebasses » à Carrefour, « Le Conjunto » devient officiellement « Ensemble Aux Calebasses ». Il convient de rappeler que la date du 26 juillet 1955 a été symboliquement retenue comme celle de la fondation de la formation musicale de Nemours Jean-Baptiste, ancêtre, donc, du compas direct. Talès en sera le premier et unique trompettiste jusqu’à l’arrivée de Walter Tadal en 1956.
Lorsque, en septembre 1958, Nemours quitte « Aux Calebasses » pour aller se produire au « Palladium Night Club », de Sénatus Lafleur, il baptise son groupe de son nom: Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste. « Alors, affirme Talès, prendra naissance le compas direct », genre musical dont il a été l’un des grands artisans, de concert avec Walter Tadal, Raymond Gaspard, Julien Paul, Louis Lahens, André Boston et de bien d’autres musiciens. Là-dessus, il sied d’entendre la voix de Talès pour mieux nous renseigner: « Quand on parle de compas direct, il faut avouer que Kreutzer Duroseau a été le véritable catalyseur de ce mouvement … Richard Duroseau représente l’âme même du compas direct… » (Entrevue avec Louis Carl Saint Jean, 22 octobre 2005.)
Le 5 juillet 1964, le Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste entame une tournée aux Etats-Unis. Le 22 septembre, date du retour du groupe en Haïti, notre trompettiste, en parfait accord avec Nemours, fait ses adieux au compas direct. Il est remplacé par le brillant trompettiste jérémien Emilio Gay. Dès le début de l’année 1965, Talès entame sa carrière aux Etats-Unis. Sur la recommandation de l’excellent saxophoniste Charles Dessalines, il intègre « Los Ases del Sesenta » qui jouent à Broadway Cafe, Myrtle Avenue, Brooklyn. Il y restera jusqu’en mars – avril 1977. Moins d’un mois plus tard, il entre au Conjuto du chanteur cubain Monguito Guillan (dit « El Unico ») où évolue également le contrebassiste Fritz Grand-Pierre. Par la suite, Talès et Raymond Marcel jouent tantôt avec ''Enrique Rosa y La Sabrosa'' tantôt avec Johnny Dupre y su Orquesta Internacional. En 1980, Talès met fin à sa carrière musicale après avoir passé deux merveilleuses années au sein du groupe du chanteur dominicain Rafael Batista.
À part d’avoir été un talentueux trompettiste, Talès a également été un analyste fin et lucide de la question musicale haïtienne. S’il reconnaît en Nemours Jean-Baptiste « un maestro extraordinaire et un grand visionnaire », ses musiciens préférés ont toujours été : Antalcidas O. Murat, Guy Durosier, Murat Pierre, Michel Desgrottes, Raoul Guillaume, Richard Duroseau et Webert Sicot. D’ailleurs, comme Nemours Jean-Baptiste lui-même, Talès a toujours vu en Antalcidas Murat « un maître ». En outre, il n’a jamais passé par quatre chemins pour affirmer : « Je suis Haïtien avant d’être musicien […] C’était un honneur pour moi d’avoir joué dans le groupe de Nemours pendant près de quinze ans. Cependant, je dois avouer que le Jazz des Jeunes était, de loin, le plus grand ensemble musical du pays… C’est le Jazz des Jeunes qui jouait la vraie musique du pays... » (Entrevue avec LCSJ, 25 octobre 2005). Hubert François, Jean Moïse, Alphonse Simon, Raymond Sicot et André Déjean ont été ses idoles parmi nos trompettistes.
Si Talès était connu comme un très bon musicien, il jouissait aussi de la réputation d’un excellent père de famille. Tandis qu’il menait sa carrière de musicien, il a travaillé comme barbier pendant plus de deux décennies dans un salon de coiffure situé à Sterling Place, à Brooklyn. Il a ainsi assuré l’éducation de quatre merveilleux enfants que lui a donnés sa femme Denise Frédéric Jabouin qu’il a épousé en 1953: Reynald Jabouin, docteur en médecine (décédé à New York en janvier 2015); Patrick Jabouin, agent immobilier et docteur en Théologie; Fanya Jabouin Monnay, docteur en thérapie conjugale et familiale et Jean Emmanuel Jabouin, Jr., MBA en Marketing.
Après avoir parcouru sans naufrage notre espace immense, Talès se repose de ses œuvres merveilleuses depuis le 3 octobre 2015 au Forest Lawn Cemetery, à Fort Lauderdale, en Floride. Pour son émule Raymond Marcel: « Talès repésentait le modèle de l’ami fidèle... La sonorité suave de son jeu avait fait de lui l’un de nos meilleurs trompettistes. » De son côté, son ancien camarade Serge Simpson, deuxième accordéoniste et premier et unique vibraphoniste du Super Ensemble Nemours Jean-Baptiste, a salué en lui: « Un homme d’un comportement exemplaire. Le jeu de Talès à la trompette, poursuit Simpson, reflétait deux qualités rarement réunis chez une seule personne: la discipline et la bonne humeur. J'ai toujours gardé un grand respect pour ce musicien... » Puisse le nom de Jean Emmanuel Jabouin rester gravé à jamais dans la mémoire de tous ceux qui ont aimé la musique haïtienne en général, le compas direct en particulier. Ce n’est qu’un au revoir, Talès! Ce n’est qu’un au revoir!
Auteur:
Louis Carl Saint Jean
4 octobre 2015
#JeanEmmanuelJabouin
#Talès
#TompettisteCompasDirect
#Biographie
#LouisCarlStJean
#HugoValcin
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Jacques Marin.
Filmografía
Cine
Años 1940-1950
1946 : Le Beau voyage de Louis Cuny - Un mauvais garçon
1948 : L'assassin est à l'écoute de Raoul André - le barman
1950 : Dieu a besoin des hommes de Jean Delannoy
1950 : Le Mystérieux colonel Barclay, cortometraje de Jacques Vilfrid
1951 : Seul dans Paris : de Hervé Bromberger un homme du village
1952 : Jeux interdits de René Clément - Georges Dollé
1952 : Nous sommes tous des assassins de André Cayatte
1953 : Quitte ou double de Robert Vernay - Lucien
1953 : Un jour comme les autres, cortometraje de Georges Rouquier - Pierrot
1954 : Faites-moi confiance de Gilles Grangier - Bob
1954 : Avant le déluge de André Cayatte - L'ouvrier à bicyclette
1954 : J'y suis... j'y reste de Maurice Labro
1954 : Papa, maman, la bonne et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le voisin
1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry - Un gardien de prison
1955 : Papa, maman, ma femme et moi de Jean-Paul Le Chanois - Le garagiste
1955 : Ça va barder de John Berry
1955 : Sur le banc de Robert Vernay - Le policier qui court après La Hurlette et Carmen
1955 : Le Dossier noir de André Cayatte - Un policier
1955 : Les Évadés de Jean-Paul Le Chanois - Un prisonnier
1955 : French Cancan de Jean Renoir - Un homme dans la file d'attente
1955 : La Rue des bouches peintes de Robert Vernay - Le commissaire
1955 : Les Hommes en blanc de Ralph Habib
1955 : Gas-oil de Gilles Grangier - Le gendarme
1955 : L'Amant de lady Chatterley de Marc Allégret - Un homme du pub
1956 : Des gens sans importance de Henri Verneuil - Le routier qui fesse Clotilde
1956 : Marie-Antoinette de Jean Delannoy - Un crieur de journaux
1956 : Mon curé chez les pauvres d’Henri Diamant-Berger
1956 : Ces sacrées vacances de Robert Vernay - L'automobiliste
1956 : Le Sang à la tête de Gilles Grangier - L'agent de police
1956 : Paris, Palace Hôtel de Henri Verneuil - Le livreur de fleurs
1956 : La Traversée de Paris de Claude Autant-Lara Le patron du restaurant
1956 : Cette sacrée gamine de Michel Boisrond - Un gendarme
1956 : Reproduction interdite de Gilles Grangier
1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier - Un flic de garde
1957 : A Paris tous les deux - (Paris holiday) de Gerd Oswald.
1957 : Les femmes sont marrantes de André Hunebelle - Le taxi
1957 : Les Vendanges (The Vintage) de Jeffrey Hayden
1957 : Le Coin tranquille de Robert Vernay
1957 : Porte des Lilas de René Clair - L'inspecteur qui enquête sur le vol chez l'épicier
1957 : Une Parisienne de Michel Boisrond - Le motard
1957 : Montparnasse 19 de Jacques Becker - Le patron du café
1958 : Les Misérables de Jean-Paul Le Chanois : Le messager (dans la première époque)
1958 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin
1958 : Le Désordre et la Nuit de Gilles Grangier - Le garçon de café bavard
1958 : En cas de malheur de Claude Autant-Lara - Le réceptionniste du Trianon-Hôtel
1958 : Les Racines du ciel (Roots of Heaven) de John Huston - Cerisot
1958 : Le Miroir à deux faces de André Cayatte - Un professeur
1958 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux - Le pêcheur
1958 : Trois jours à vivre de Gilles Grangier : le gendarme
1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné - Monsieur Félix
1958 : Madame et son auto de Robert Vernay - Monsieur Rouille
1958 : Le Joueur de Claude Autant-Lara
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Mimile, un habitué du café
1959 : Rue des prairies de Denys de La Patellière - Monsieur Mauduis
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy - Albert, le chauffeur de la comtesse
1959 : Guinguette de Jean Delannoy - Albert
1959 : Drôles de phénomènes de Robert Vernay - L'inspecteur
1959 : Croquemitoufle ou Les Femmes des autres de Claude Barma - Le contrôleur
1959 : La Bête à l'affût de Pierre Chenal - Le contrôleur routier
1959 : Match contre la mort de Claude Bernard-Aubert.
Año 1960
1960 : Les Vieux de la vieille de Gilles Grangier - Le brigadier de gendarmerie dont la chaîne de vélo a sauté
1960 : La Française et l'Amour, sketch Le Mariage de René Clair - Le contrôleur
1960 : Drame dans un miroir (Crack in the Mirror) de Richard Fleischer - Le gardien
1960 : Pantalaska de Paul Paviot - Monsieur Tropman
1960 : Monsieur Suzuki de Robert Vernay
1960 : Vers l'extase de René Wheeler - Le boucher
1960 : Au cœur de la ville de Pierre Gautherin
1961 : Le Président de Henri Verneuil - Gaston, le chauffeur de car.
1961 : Le cave se rebiffe de Gilles Grangier - L'inspecteur Larpin, de la police mondaine
1961 : Le Général ennemi (The Ennemy General) de George Sherman - Marceau
1961 : Le Grand Risque (The Big Gamble) de Richard Fleischer - L'employé de l'hôtel
1961 : Arrêtez les tambours de Georges Lautner - L'épicier
1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner - Trochu
1961 : La Pendule à Salomon de Vicky Ivernel
1962 : Le Gentleman d'Epsom de Gilles Grangier - Raoul, le boucher turfiste
1962 : Gigot, le clochard de Belleville (Gigot) de Gene Kelly - Jean
1962 : Le Couteau dans la plaie de Anatole Litvak - Le commissaire
1962 : La Belle des îles (Tiara Tahiti) de Ted Kotcheff - Desmoulins
1962 : Portrait-robot de Paul Paviot
1963 : Charade de Stanley Donen - L'inspecteur Édouard Grandpierre
1963 : Le Glaive et la Balance de André Cayatte - Un gendarme
1963 : Méfiez-vous, mesdames de André Hunebelle
1963 : Le Poulet, cortometraje de Claude Berri
1964 : Le Train de John Frankenheimer y Bernard Farrel - Jacques, le chef de gare de Rive-Reine
1964 : La Vie conjugale (version Françoise) d’André Cayatte
1964 : Vacances pour Yvette (Vacaciones para Yvette) de José-Maria Forque
1965 : Fantômas se déchaîne de André Hunebelle - L'agent de police ferroviaire
1965 : Humour noir, sketch La Bestiole de Claude Autant-Lara
1965 : Les Bons Vivants, sketch La Fermeture de Gilles Grangier - L'acquéreur du mobilier de la maison close
1966 : Comment voler un million de dollars (How to steal a million) de William Wyler - Le gardien-chef du musée
1966 : Paris au mois d'août de Pierre Granier-Deferre - Bouvreuil
1966 : Les Centurions (Lost Command) de Mark Robson - Le maire coléreux à qui on prend son hélicoptère
1966 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Aujourd'hui de Claude Autant-Lara - L'agent de police
1966 : La Vingt-cinquième Heure de Henri Verneuil - Le soldat chez Dubrosco
1968 : La Motocyclette (The Girl on a Motorcycle) de Jack Cardiff - Le pompiste
1968 : L'Homme à la Buick de Gilles Grangier - Un déménageur
1969 : La Nuit du lendemain (The Night of the Following Day) de Hubert Cornfield y Richard Boone - Le patron du café
1969 : La Fiancée du pirate de Nel.
Año 1970
1970 : Hello, Goodbye (Hello Goodbye) de Jean Negulesco
1970 : Darling Lili (Darling Lili) de Blake Edwards - Le major Duval
1971 : Mourir d'aimer de André Cayatte - Le correspondant
1971 : Le drapeau noir flotte sur la marmite de Michel Audiard - Antoine Simonet, chef de train S.N.C.F
1971 : Jo de Jean Girault - Andrieux, un policier chercheur
1971 : Le Cinéma de papa de Claude Berri - L'acteur jouant le chef de gare
1971 : Le Petit Matin de Jean-Gabriel Albicocco - La Bouhère
1973 : Shaft contre les trafiquants d'hommes (Shaft in Africa) de John Guillermin - L'inspecteur Cusset
1973 : Mais où est donc passée la septième compagnie ? de Robert Lamoureux - L'épicier français collaborateur
1974 : L'Île sur le toit du monde (Island at the Top of the World) de Robert Stevenson - Le capitaine Brieux
1974 : Les murs ont des oreilles de Jean Girault - Lucas
1974 : Vos gueules, les mouettes ! de Robert Dhéry - Le porte-bannière
1974 : Les "S" pions (S.P.Y.S) d’Irvin Kershner - Lafayette
1974 : Impossible... pas français de Robert Lamoureux - Dussautoy
1975 : Bons baisers de Hong Kong d’Yvan Chiffre - Le gradé de la police
1975 : Opération Lady Marlène de Robert Lamoureux - Le bistrot
1975 : Flic Story de Jacques Deray - Le patron de l'auberge de Saint-Rémy
1975 : Catherine et compagnie de Michel Boisrond - Le patron de l'agence de location de voitures
1976 : Marathon Man (Marathon Man) de John Schlesinger - Leclerc
1976 : L'Année sainte de Jean Girault - Moreau, le gardien de prison
1976 : Le Jour de gloire de Jacques Besnard - Le patron du bistrot
1977 : Le mille-pattes fait des claquettes de Jean Girault - L'inspecteur de police
1977 : La Coccinelle à Monte-Carlo (Herbie Goes to Monte-Carlo) de Vincent McEveety - L'inspecteur Bouchet
1978 : L'Horoscope de Jean Girault - J.L. Beauché
1978 : La Grande cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) de Ted Kotcheff - Masseret
1978 : Général... nous voilà ! de Jacques Besnard - Mac Goland
1979 : Grandison d’Achim Kurz.
Años 1980 - 1990
1981 : Ach du lieber Harry de Jean Girault - Un haut dignitaire
1982 : Te marre pas .. c'est pour rire ! de Jacques Besnard - Albert, le chauff.
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Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 1,14-20
14 « Après l’arrestation de Jean, Jésus partit pour la Galilée proclamer l’Évangile de Dieu ;
15 il disait : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Évangile. »
16 Passant le long de la mer de Galilée, Jésus vit Simon et André, le frère de Simon, en train de jeter les filets dans la mer, car c’étaient des pêcheurs.
17 Il leur dit : « Venez à ma suite. Je vous ferai devenir pêcheurs d’hommes. »
18 Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
19 Jésus avança un peu et il vit Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans la barque et réparaient les filets.
20 Aussitôt, Jésus les appela. Alors, laissant dans la barque leur père Zébédée avec ses ouvriers, ils partirent à sa suite. »
(Texte biblique tiré de « La Bible — traduction officielle liturgique — AELF »)
(Illustration du site Apprenez-nous à prier)
Commentaire Mc 1,15
« Les temps sont accomplis, le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous Évangile 21 Janvier 2024 - 3e Dimanche Ordinaire Bet croyez à l’Évangile. » (Mc 1,15) Ceci se passe « Après que Jean eut été livré », nous dit Marc : après le baptême au bord du Jourdain (Mc 1,9-11) et son passage au désert (1,12), Jésus retourne en Galilée et c’est là qu’il commence sa prédication : sous-entendu la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu vient de Galilée, ce pays suspect, dont on se demandait « que peut-il sortir de bon ? » Et Jésus commence à proclamer : « Les temps sont accomplis ! » Le peuple d’Israël a une notion de l’histoire tout-à-fait particulière : pour lui, l’histoire n’est pas un perpétuel recommencement, elle a un SENS, c’est-à-dire à la fois une signification et une direction. Il y a un début et une fin de l’histoire et c’est dans le cadre de cette histoire humaine que Dieu déploie son projet d’Alliance avec l’humanité. Dire « Les temps sont accomplis », c’est dire que nous touchons au but. Comme dit Paul « le temps a cargué ses voiles », comme un bateau qui arrive au port. Ce but, c’est le Jour où « l’Esprit sera répandu sur toute chair », selon la promesse du prophète Joël (Jl 3,1). Or, justement, Jean-Baptiste a vu dans la venue de Jésus l’accomplissement de cette promesse : « Moi, je vous ai baptisés d’eau, mais lui vous baptisera d’Esprit Saint », a-t-il dit au moment du Baptême de Jésus. Voilà la Bonne Nouvelle : le Jour de Dieu vient, « le Règne de Dieu est tout proche » ; ce qui veut dire deux choses : premièrement, c’est le Royaume qui s’approche de nous : nous n’avons qu’à l’accueillir ; nous ne croirons jamais assez à la gratuité du don de Dieu. Deuxièmement, c’est déjà une réalité ; l’expression est au passé : « Le Règne de Dieu s’est approché » ; au-dessus de Jésus sortant des eaux du Jourdain, les cieux se sont déchirés : le ciel communique de nouveau avec la terre. La conversion à laquelle Jésus nous invite consiste peut-être tout simplement à croire que ce don de Dieu est actuel et qu’il est gratuit. Une gratuité que le prophète Isaïe annonçait déjà : « Vous tous qui avez soif, venez, voici de l’eau » (Is 55). Cela nous permet de comprendre l’expression : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » ; se convertir c’est croire à la Bonne Nouvelle, ou pour le dire autrement c’est croire que la Nouvelle est Bonne : Dieu est amour et pardon, et son amour est pour tous. C’est sans doute pour cela que la première lecture qui nous est proposée ce dimanche est tirée du livre de Jonas ; il disait deux choses : d’une part, Dieu veut le salut de tous les hommes et non pas seulement de quelques privilégiés ; d’autre part, voyez l’exemple de Ninive : Dieu n’attend qu’un geste de vous. Il suffit de vous convertir pour entrer dans son pardon. Dans le même ordre d’idées, Paul dit dans sa deuxième lettre aux Corinthiens : « Laissez-vous réconcilier avec Dieu », ce qui veut dire « croyez que son dessein est bienveillant », cessez de faire comme Adam qui croit que Dieu est mal intentionné ! C’est bien le sens du mot « conversion » en hébreu, c’est-à-dire demi-tour ; « convertissez-vous » veut dire « retournez-vous ». Si on se retourne, on verra Dieu tel qu’il est, c’est-à-dire le Dieu d’amour et de pardon. C’est bien la découverte du fils prodigue.
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APÔTRES MODERNES AUJOURD’HUI ?
#Apôtres_modernes_aujourd_hui ? #Patrice_Matt_Mathurine Qc_0713
Les "CRITÈRES" bibliques pour être apôtre sont énoncés en Actes 1.21-22 : « Il faut donc que, parmi ceux qui nous ont accompagnés tout le temps que le Seigneur Jésus a vécu avec nous, depuis le baptême de Jean jusqu’au jour où il a été enlevé du milieu de nous, il y en ait un qui nous soit associé comme témoin de sa résurrection. »
L'apôtre Paul est à part car il ne remplit pas ces critères. Cependant le Seigneur lui est apparu de manière spéciale sur le chemin de Damas donc dans un sens il a vu le Seigneur ressuscité et glorifié. (Actes 9.1-9)
« Je connais un homme en Christ qui, voici quatorze ans — était-ce dans son corps ? Je ne sais ; était-ce hors de son corps ? Je ne sais, Dieu le sait — fut ravi jusqu'au troisième ciel.
Et je sais que cet homme — était-ce dans son corps ou sans son corps ? Je ne sais, Dieu le sait — fut enlevé dans le paradis et qu'il entendit des Paroles ineffables qu'il n'est pas permis à un homme d'exprimer.
Je me glorifierai d'un tel homme, mais de moi-même je ne me glorifierai pas, sinon de mes faiblesses. » II Corinthiens 12.2-5
Donc pour remplir les conditions, il faut avoir vécu avec le Seigneur depuis le baptême de Jean, avoir été témoin de sa résurrection et de son élévation, avoir été choisi par Lui devant témoins.
C'est le cas des 12 en Luc 6.13-16. « Quand le jour parut, il appela ses disciples et en choisit douze, auxquels il donna le nom d’apôtres : Simon, qu’il nomma Pierre, André son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Simon appelé le zélote, Jude fils de Jacques, et Judas Iscariot, qui devint traître. »
Pour Paul, le témoin c'est Ananias le disciple. « Or, il y avait à Damas un disciple du nom d’Ananias. Le Seigneur lui dit dans une vision : Ananias ! Il répondit : Me voici, Seigneur ! Et le Seigneur lui dit : Lève-toi, va dans la rue appelée la droite, et cherche, dans la maison de Judas, un nommé Saul de Tarse. Car il prie et il a vu en vision un homme du nom d’Ananias, qui entrait et lui imposait les mains, afin qu’il recouvre la vue.
Ananias répondit : Seigneur, j’ai entendu dire par beaucoup combien de mal cet homme a fait à tes saints dans Jérusalem ; et il a ici, de la part des principaux sacrificateurs, le pouvoir de lier tous ceux qui invoquent ton nom.
Mais le Seigneur lui dit : Va, car cet homme est pour moi un instrument de choix, afin de porter mon nom devant les nations et les rois, et devant les fils d’Israël ; et je lui montrerai combien il faudra qu’il souffre pour mon nom. » (Actes 9.10-16).
« Or, un certain Ananias, homme pieux selon la loi et de qui tous les Juifs de Damas rendaient un bon témoignage, vint se présenter à moi et me dit : Saul, mon frère, recouvre la vue. À l’heure même, je recouvrai la vue et je le vis.
Il dit : Le Dieu de nos pères t’a destiné à connaître sa Volonté, à voir le Juste et à entendre les Paroles de sa bouche ; car tu seras son témoin, devant tous les hommes, de ce que tu as vu et entendu. Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Lève-toi, sois baptisé "et" lavé de tes péchés, en invoquant son nom. » Actes 22.12-16
Aujourd'hui, il n'y a plus d'apôtres sur la terre. L'Église du Seigneur a les mêmes apôtres qu'au premier siècle. Ils sont maintenant "dans le sein d'Abraham". (Luc 16.22).
Ceux qui s'autoproclament apôtres ne remplissent aucun des critères et n'ont pas non plus la puissance d'en haut que Jésus leur avait promise en Actes 1.8.
Patrice Matt Mathurine
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La soi-disant loi qui se dit bioéthique : le commencement de la fin ?
‘‘Nous autres, civilisations, nous savons que nous sommes mortelles’’, prévenait Paul Valéry dès 1919 dans “La crise de l'esprit”. Que dirait-il, devant les étalages de la malhonnêteté intrinsèque d'idéologues de mort qui proclament “urgence de tout premier plan” le vote d'une loi inutile, néfaste et dangereuse sur une soi-disant PMA version XXL, qui débouche en douce sur des pans entiers d'interdits moraux ? Notre humanité se retrouve déshumanisée par la faute de prédicateurs de malheur qui posent, avec une agressivité et une urgence impudentes, la menace de la fin de notre civilisation, la plus belle pour l'Homme qui ait, sans doute, jamais été.
Au lendemain de l'atroce boucherie qu'a été la guerre de 14-18, Valéry pressentait que des heures encore plus sombres menaçaient : de lourds nuages noirs s'accumulaient sur l'Europe, pour qui le choix se résumait soit à n'être plus que ce qu’elle est en réalité, un “petit cap du continent asiatique”, soit à rester ce qu’elle paraît, c’est-à-dire le cerveau d’un vaste corps qui se confond avec l'Humanité. Un autre grand penseur français, malheureusement oublié, André Siegfried, annonçait en 1935 (in- La Crise de l’Europe) : ”le Vieux Monde voit, pour la première fois, son hégémonie contestée. Mais ce qui risque d’être mis en cause de ce fait, c’est, avec la destinée d’un continent, celle de toute une forme de civilisation. Sous son aspect le plus grave, la crise est là’’. Quelle clarté de vue ! Depuis, on pourrait dire que sous une forme ou sous une autre, cette menace n'a jamais cessé, jusqu'à atteindre depuis peu un niveau suicidaire, pour la “planète Terre” tout entière.
C'est en 1935 aussi que Jean Giraudoux osait écrire : “Les nations, comme les hommes, meurent d’imperceptibles impolitesses’’. Aujourd'hui, il serait hué par notre stupide ‘’intelligentzia’’ : même notre Président, dans un incompréhensible déni du réel, parle d'incivilités (NDLR- la pire des incivilités étant évidemment d'utiliser ce mot-là pour désigner des crimes, des délits et des monstruosités diverses.On se demande-ce qui lui passe par la tête...). Giraudoux, encore : ’‘C’est à leur façon d’éternuer que se reconnaissent les peuples condamnés”. Avouons que ces mots font mal, en ces heures sombres où des bandes d'inconséquents diplômés et de nuls majuscules ont réussi à mensongèrement faire croire aux européens que le comble du civisme consisterait à n'avoir plus ni visage ni sourire mais à militer pour arborer un iso tchador en ‘’pq’’ bleu, qui se croit républicain.
Au fond, il faut bien savoir que nos représentants à l'Assemblée Nationale s'en foutent : le premier soir, il y avait 2 (je dis bien : deux) députés de la majorité présidentielle pour parler des manipulations de la génétique et de l'embryon, sujet dangereux s'il en est : c'est rien de moins que le futur de l'Humanité ! Cette loi perverse, qui va foutre en l'air tout ce qui était humain en nous, aura été votée par 60 députés sur 577, les autres se cachant pour ne pas avoir à se prononcer. C'est une honte ! Mais il y avait, ce soir-là, un “pot” à Matignon, ce qui est bien plus important, aux yeux de ces inutiles nuisibles. Sommes-nous tous conscient de la dangerosité de ceux pour qui “bio-éthique” est l’exact contraire de “éthique” ?
C'est dans cette atmosphère de “fin du monde” que notre république agonisante n'a rien trouvé de mieux que de faire joujou sans pudeur avec le temps, les hommes, l'Histoire, la science, la vérité, la démocratie, l'honnêteté, les vraies urgences et une crise économique majeure… le tout sous le prétexte trompeur d'une “urgence sanitaire” inventée de toutes pièces. Ce débat “hors sol”, que des irresponsables ont rouvert le 27 juillet sans la moindre raison, a duré une semaine. Pour 2129 amendements déposés, ça fait au mieux une à deux minutes par sujet… Devant cette fuite vers le néant, on pense à Léon Blum pour qui “certains poisons ressemblent à des remèdes, mais la plupart des poisons ne sont pourtant que des poisons” (in- À l’échelle humaine -1945). Pour le moment, et une fois encore, les mauvais choix philosophiques de notre Président déchirent inutilement les français en fractions irréconciliables… Pourquoi fait-il ça ? Se piquant de philosophie, il devrait savoir que “Il n’est pas une idée née d’un esprit humain qui n’ait fait couler du sang sur la terre”, même si cette idée forte de Charles Maurras (in- La Dentelle du rempart -1937) ne fait évidemment pas partie de ses références.
Cette loi, qui n'est évidemment pas bio et surtout pas éthique, même un tout petit peu, est un grossier piège faussement progressiste : elle se dit “libérale” mais n'est que mortifère, à cause du terrifiant Jean Louis Touraine. Ce rapporteur, modèle Saint Just le mal nommé, dit d'ailleurs que ’‘cette loi est une loi de rupture’’ : on n'est pas plus clair ! Il rêve de laisser dans l'Histoire l'image (pourtant peu enviable) de “fossoyeur de la civilisation occidentale”. En fait, soutenu par Macron et tous les dangereux idiots de “En Marche” (vers la fin du monde), il peut espérer y arriver… sauf révolte des gens normaux qui, d'après les derniers sondages, se comptent encore 61% de la population française… en augmentation de + 11 % en un an.
PMA pour les femmes seules et pour les couples de femmes, don d’ovocytes au sein d’un couple de femmes, dépistage chromosomique in utero, chosification de l'embryon humain, “droit à l'enfant” et autres mensonges en tous genres, risques thérapeutiques que prendront les pauvres lesbiennes qui croiront à l’innocuité de toutes ces mesures gravissimes… les sujets de discorde n'ont pas manqué, au Palais-Bourbon. Mais en programmant sans raison l’examen de ce texte à la fin d’une session extraordinaire d’été, le Gouvernement a choisi d'aller plus vite que la musique, et Olivier Véran, ministre de la santé, croyant anticiper les critiques d'un hémicycle clairsemé, a donc attaqué : “Le gouvernement a fait le choix de ne pas engager la procédure accélérée. Nous prenons le temps du débat. Chacun des groupes est libre de mobiliser ses députés. La majorité est là, solide, et elle le sera jusqu’à la fin de la semaine”. La répartition des forces étant ce qu'elle est au Palais-Bourbon, cette phrase est le comble de la mauvaise foi ! Ils se foutent du monde !
L’opposition dénonce, avec juste raison mais dans l'impuissance, ce modus operandi qui consiste à voter en catimini un texte qui engage les générations à venir, sans discussion, dans un non-débat tronqué, et dans la chaleur de l'été. Les mêmes accusations sont reprises par toutes les associations opposées au projet de loi, dont la Manif pour tous qui manifeste sans espoir devant l’Assemblée. Selon sa présidente, Ludovine de La Rochère, “le contexte sanitaire empêche de descendre massivement dans la rue, et l’exécutif en profite honteusement. Et Pascal Brindeau (UDI) fait honte à la majorité : “Ce qui justifie ce passage en catimini en plein été, c’est la volonté de donner des gages à votre aile gauche, déboussolée par sa débâcle aux municipales. La forme, c’est du fond qui remonte à la surface”.
Des clivages qui étaient jusque là politiques ont été transformés en clivages anthropologiques, l'atroce lutte des classes est revenue, déguisée en lutte des races et en sujets d'affrontement philosophique. Que peut-il sortir de bon de cette confrontation inutile dans la période actuelle où seuls les “vrais sujets” devraient recevoir toute l'attention des uns et des autres ? Que du mal, c'est certain.
H-Cl.
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